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Issynetoo

30 août 2017

Rendez-vous place Gandhi - Xavier Fagnon

Résumé

Edouard Baer, Omar Sy, Alain Juppé, Chantal Ladesou, Patrick Balkany, Yannick Noah, Maître Gims, et bien d'autres vous donnent rendez-vous Place Gandhi, en Inde, dans une aventure parodique et foisonnante inspirée de Pékin Express qui va virer au désastre écologique...

 Quatre binômes insolites de personnalités « people », se retrouvent en Inde pour repousser leurs limites dans une aventure télévisée.

L’action se déroule le jour de la finale. Les concurrents doivent arriver les premiers sur les lieux du prime time diffusé le soir même en direct, Place Gandhi, au bord du Gange, fleuve réputé pour ses taux de pollution records. Les pérégrinations de ces duos insolites révèleront un Alain Souchon baroudeur et sans tabou, une Chantal Ladesou pleine d’audace envers la population locale, un Alain Juppé transcendé par la compétition et bien d’autres… Edouard Baer, chargé au débotté de l’organisation et des répétitions du prime time, s’évertuera de son côté à faire respecter la charte écologique de l’émission imposée par la production à ces candidats indisciplinés. 

Le rythme s’accélère crescendo au fil des situations, avec des personnages de plus en plus nombreux, et le spectacle se termine en une apothéose vocale et musicale.

En bref : c'est un spectacle théâtral et musical, poétique et drôlent  avec une interprétation précise.

thea

 

 

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28 mai 2017

Bonne fête ManMan

 

Au deuxième top il sera 23 h 59 min 30 sec 

Au troisième top il sera 23 h 59 min ...sec

Bonne fête ManMan

Merci ma Fille ! 

 

 

Bravo

 

28 mai 2017

Images à la sauvette - Henri Cartier-Bresson

Une Bible pour les photographes

 

H Cartier

Images à la sauvette (The Decisive Moment en version américaine) est l’un des plus grands livres de photographies jamais publié. Sorti en 1952 aux éditions Verve, à l’initiative de Tériade, il regroupe les photographies réalisées par Henri Cartier-Bresson durant les vingt premières années de sa carrière. C’est, en 1952, une monographie du meilleur de l’oeuvre d’Henri Cartier-Bresson, publiée chez un éditeur d’art, avec une couverture originale de Matisse.

 

Il eu une influence exceptionnelle dans le monde des arts. Il est l'aboutissement d'une action conjointe entre le photographe, l'éditeur d'art Tériade et le peintre Matisse.

 

Image à la sauvette. Cartier-Bresson - Matisse

 

J’ai toujours eu une passion pour la peinture. Étant enfant j’en faisais le jeudi et le dimanche, j’y rêvais les autres jours. J’avais bien un Brownie-box comme beaucoup d’enfants, mais je ne m’en servais que de temps à autre pour remplir de petits albums avec mes souvenirs de vacances. Ce n’est que beaucoup plus tard que je commençais à mieux regarder à travers l’appareil, mon petit monde s’élargissait et ce fut la fin des photos de vacances. Il y avait aussi le cinéma, les Mystères de New York, avec Pearl White, les grands films de Griffith, le Lys Brisé, les premiers films de Stroheim, les Rapaces, ceux d’Eisenstein, Potemkine, puis la Jeanne d’Arc de Dreyer; ils m’ont appris à voir. Plus tard, j’ai connu des photographes qui avaient des épreuves d’Atget ; elles m’ont beaucoup impressionné. Je me suis alors acheté un pied, un voile noir, un appareil 9x12 en noyer ciré, équipé d’un bouchon d’objectif qui tenait lieu d’obturateur; cette particularité me permettait d’affronter uniquement ce qui ne bougeait pas. Les autres sujets étaient trop compliqués ou me paraissaient trop « amateur »; je croyais ainsi me dédier à « Art ». Je développais et tirais les épreuves moi-même dans une cuvette et ce bricolage m’amusait. [...]

J’avais découvert le Leica; il est devenu le prolongement de mon œil et ne me quitte plus. Je marchais toute la journée l’esprit tendu, cherchant dans les rues à prendre sur le vif des photos comme des flagrants délits. J’avais surtout le désir de saisir dans une seule image l’essentiel d’une scène qui surgissait. Faire des reportages photographiques, c’est-à-dire raconter une histoire en plusieurs photos, cette idée ne m’était jamais venue; ce n’est que plus tard, en regardant le travail de mes amis du métier et les revues illustrées, et en travaillant à mon tour pour elles que peu à peu j’ai appris à faire un reportage. J’ai beaucoup circulé, bien que je ne sache pas voyager. J’aime le faire avec lenteur, ménageant les transitions entre les pays. Une fois arrivé, j’ai presque toujours le désir de m’y établir pour mieux encore mener la vie du pays. Je ne saurais être un globe-trotter. [...] Une photographie est pour moi la reconnaissance simultanée, dans une fraction de seconde, d’une part de la signification d’un fait, et de l’autre d’une organisation rigoureuse des formes perçues visuellement qui expriment ce fait. C’est en vivant que nous nous découvrons, en même temps que nous découvrons le monde extérieur, il nous façonne, mais nous pouvons aussi agir sur lui. Un équilibre doit être établi entre ces deux mondes, l’intérieur et l’extérieur, qui dans un dialogue constant, n’en forment qu’un, et c’est ce monde qu’il nous faut communiquer. Mais ceci ne concerne que le contenu de l’image et pour moi, le contenu ne peut se détacher de la forme; par forme, j’entends une organisation plastique rigoureuse par laquelle seule nos conceptions et émotions deviennent concrètes et transmissibles. En photographie, cette organisation visuelle ne peut être que le fait d’un sentiment spontané des rythmes plastiques. » 

Extrait d'Images à la Sauvette, Verve, 1952

Derrière la gare Saint-Lazare, Paris, France, Henri Cartier-Bresson, 1932 - © ©Henri Cartier-Bresson / Magnum Photos, O?courtesy Fondation Henri Cartier-Bresson

 

henri-cartier-bresson-children-playing-football-in-madrid-spain-circa-1933

5 novembre 2016

AVEDON - Un oeil américain sur la France

Aujourd'hui je me suis rendue à la Bibliothèque Nationale François Mitterand (BNF) pour y voir l'exposition Richard AVEDON "Un oeil américain sur la France".

avedon

Photographe américain d'origine russe, Richard Avedon est l'un des photographes de mode les plus célèbres du XXème siècle. Il a, entre-autres, photographié Marilyn Monroe ou Les Beatles. La violence d’une approche précoce de la photographie - qui lui fait fréquenter trop vite la maladie et la mort - s’oppose à un succès rapide dans le monde de la mode et le tient toute sa vie prisonnier d’une contradiction qui le dépasse ; il ne peut qu’adopter un style a minima, compatible avec cette double approche impossible à réduire. Ce style a minima devient sa marque de fabrique.

Sa vie (source : compilation de différents sites web)

Richard Avedon est né le 15 mai 1923 à New York dans une famille d’origine russe. Son père, commerçant dans le textile sur la 5ème Avenue, l'initie très tôt aux techniques de la photographie en lui offrant un Kodak Brownie. Il trouve son premier modèle à l'âge de 10 ans en la personne du compositeur et pianiste russe Sergueï Rachmaninov, son voisin de palier. Le jour de son dix-septième anniversaire, son père lui fait cadeau d’un Rolleiflex. Le 8 novembre 1941, au moment de l'attaque sur Pearl Harbor, il entre dans la marine marchande où il est affecté au service des photos d'identité puis aux autopsies. De cette expérience particulière, il tire un goût prononcé pour le portrait.

En 1944, Richard Avedon décide de se consacrer à la photographie.

De retour à la vie civile, il suit les cours d’Alexeï Brodovitch, alors enseignant à la New School For Social Research et directeur artistique chez Harper’s Bazaar. A 21 ans il ouvre son propre studio, et un an plus tard, son rêve se réalise : il rejoint le prestigieux magazine de mode, comme photographe.

En 1946, Avedon se rend pour la première fois à Paris.
Il photographie les collections de haute-couture française (restant fidèle aux grandes maisons de la capitale jusqu’en 1984). Avedon définit clairement son style : des portraits sur fond neutre. Sa méthode est radicale : un fond uni, une direction du sujet sans concession, une lumière qui met en relief les défauts de la peau, les rides, les asymétries, et des tirages à taille d’homme.

En 1949, Richard Avedon devient également rédacteur en chef adjoint du magazine Théâtre Arts. Sept ans plus tard, il est appelé comme conseiller visuel sur le film Funny Face, dans lequel Fred Astaire interprète un photographe de mode. Il a alors l’occasion de côtoyer plusieurs vedettes, dont Marilyn Monroe.

Même si le nom de Richard Avedon est associé en premier lieu au monde chic de la mode, de la haute société américaine, des célébrités cosmopolites, le portrait est sa façon de négocier ses contradictions et ses obsessions, de se rapprocher de « la vie, un tissu de contradictions et d'énigmes non résolues »

Dans les années 1960, Richard Avedon couvre plusieurs reportages d’actualité : il photographie des militants pour les droits civiques dans le Sud (1963), des membres du Ku Klux Klan, des malades en hôpital psychiatrique… Pacifiste, il photographie les hippies manifestant contre la guerre du Viêt-Nam, se rend au Tonkin pour réaliser des portraits de responsables militaires et de victimes du napalm.

Avedon est alors proche de la Factory d’Andy Warhol. L'endroit représente la quintessence de la révolution sexuelle et artistique de la fin des années 1960 et, pour Avedon, New York et son milieu culturel sont devenus une source inépuisable d’inspiration.

En 1966, après vingt ans d'une fructueuse collaboration avec Harper's Bazaar, il quitte le magazine pour rejoindre Vogue. Il y restera jusqu’en 1990.

Richard Avedon expose en 1974 des clichés de son père malade au musée d'Art moderne de New York.

Avedon continue par ailleurs ses activité de photographie de mode, ses reportages de terrain, et réalise pour Rolling Stone soixante-treize portraits de célébrités de l'élite politique des Etats-Unis.

En 1985 il achève «In the American West», un projet de 732 portraits d’américains pris à travers dix-sept états de l’ouest, sur une période de cinq ans. Il y présente des portraits de cow-boys, de mineurs, et de travailleurs qu’il invite à poser devant son éternel fond blanc, essayant d’évoquer ainsi l’Amérique dans sa diversité. Le projet soulèvera quelques critiques.

Sa collaboration avec la revue française "Egoïste" met un terme à sa collaboration avec Vogue qu’il quitte en1990 après plus de 25 ans.
Le New-Yorker, revue hebdomadaire d’actualités et de spectacles non moins prestigieuse dans un autre registre, l’accueille en 1992. Il en devient l’unique photographe.

Tout au long de sa carrière, Richard Avedon reçoit de prestigieuses récompenses dont la Chancellor’s Citation de l’Université de Berkley (1980) et le titre de docteur honoris causa du Royal College of Art de Londres (1989).

Célèbre, et désormais probablement le photographe le mieux payé du monde, il réalise les portraits de Picasso, Robert Frank, Jacques-Yves Cousteau, Léonard Bernstein, Marcel Duchamp, Jean Cocteau, Robert Flaherty, Igor Stravinsky, Humphrey Bogart, Buster Keaton, Ezra Pound, Bob Dylan, Alberto Giacometti, ou Björk.

En 2004, à l'âge de quatre-vingt-un ans, il est frappé d’une hémorragie cérébrale alors qu’il travaille sur le projet Democracy qui montre les préparatifs des élections présidentielles prévues cette même année. Il se rend aux Conventions de Boston et New York, voyage au Texas et au Nevada et va même jusqu’à San Francisco. Ce portfolio reste inachevé.
La Richard Avedon Foundation est créée l’année suivante.

Richard Avedon laisse derrière lui dix livres, dont Observations (co-réalisé, en 1959, avec Truman Capote) et Nothing Personal (en collaboration avec James Baldwin).

Marguerite Duras, 21 mai 1993, (photographie pour

La photographie a été prise en mai 1993. Marguerite Duras a alors 79 ans. c'est le portrait d'une petite fille retroussant sa jupe avec beaucoup de malice. L'histoire est amusante. Duras avait besoin d'un poste de télévision et demande à Caroline de l'accompagner. Elles se retrouvent dans un magasin et là, au milieu des écrans, Duras s'immobise pétrifiée. L'élastique de sa jupe a craqué. Duras murmure "je ne peux plus avancer. Ma jupe va tomber". L'histoire fut contée à Avedon qui lui a fait relever sa jupe légèrement Duras joue le jeu avec un plaisir évident.

Jean Cocteau, Coco Chanel, Catherine Deneuve, Jean Genet, Jeanne Moreau, Yannick Noah, Isabelle Adjani... Autant de personnalités françaises qui sont passées devant l'objectif du photographe de mode Richard Avedon

 

 

 

 

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Janvier 1965 Avedon portrait de Ringo.

Marilyn Monroe et Arthur Miller, 1957, Richard Avedon

25 août 2016

La maison SATIE - Visite scénographique et musical au coeur de l'univers d'Erik Satie

 

Erik Satie

Célèbre pour certains, méconnu pour d'autres, Erik Satie était un artiste complet du XXe siècle s'adonnant également à la littérature et au dessin.

Il collabora avec les plus grands : Picasso, Braque, Cocteau, René Clair. Il exerça aussi son influence sur des artistes très prestigieux comme Debussy, Ravel ou Stravinsky.

Ses oeuvres les plus connues sont : les "Gymnopédies", les"Gnossiennes", "Morceaux en forme de poire", "Parade".

J'ai visité la maison Satie à Honfleur. C'est un enchantement. La scénographie allie son, lumière, image et objet dans un décor fantaisiste et humoristique qui reflète bien l'univers de Satie.

Citation :

Sachez que le travail ... c'est la liberté.. .... la liberté.... des autres....
Pendant que vous travaillez, ....... vous n'ennuyez personne ......
(Écrits réunis par Ornella Volta, Éditions Champ Libre, 1981, p. 86)

 

 

 

 

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12 mai 2016

Montargis dans le Loiret

Montargis

 

Montargis est une ville aux 131 ponts et passerelles. Elle est surnommée la "Venise au Gatinais".

Montargis

La ville se mire au fil du Loing qui la traverse.

Montargis

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Montargis

Montargis

9 mai 2016

Chacun sa chimère

Chacun sa chimère

Charles BaudelaireCharles-Baudelaire

Sous un grand ciel gris, dans une grande plaine poudreuse, sans chemins, sans gazon, sans un chardon, sans une ortie, je rencontrai plusieurs hommes qui marchaient courbés.
Chacun d’eux portait sur son dos une énorme Chimère, aussi lourde qu’un sac de farine ou de charbon, ou le fourniment d’un fantassin romain.
Mais la monstrueuse bête n’était pas un poids inerte ; au contraire, elle enveloppait et opprimait l’homme de ses muscles élastiques et puissants ; elle s’agrafait avec ses deux vastes griffes à la poitrine de sa monture ; et sa tête fabuleuse surmontait le front de l’homme, comme un de ces casques horribles par lesquels les anciens guerriers espéraient ajouter à la terreur de l’ennemi.
Je questionnai l’un de ces hommes, et je lui demandai où ils allaient ainsi. Il me répondit qu’il n’en savait rien, ni lui, ni les autres ; mais qu’évidemment ils allaient quelque part, puisqu’ils étaient poussés par un invincible besoin de marcher.
Chose curieuse à noter : aucun de ces voyageurs n’avait l’air irrité contre la bête féroce suspendue à son cou et collée à son dos ; on eût dit qu’il la considérait comme faisant partie de lui-même. Tous ces visages fatigués et sérieux ne témoignaient d’aucun désespoir ; sous la coupole spleenétique du ciel, les pieds plongés dans la poussière d’un sol aussi désolé que ce ciel, ils cheminaient avec la physionomie résignée de ceux qui sont condamnés à espérer toujours.
Et le cortége passa à côté de moi et s’enfonça dans l’atmosphère de l’horizon, à l’endroit où la surface arrondie de la planète se dérobe à la curiosité du regard humain.
Et pendant quelques instants je m’obstinai à vouloir comprendre ce mystère ; mais bientôt l’irrésistible Indifférence s’abattit sur moi, et j’en fus plus lourdement accablé qu’ils ne l’étaient eux-mêmes par leurs écrasantes Chimères.

Charles Baudelaire, Petits poèmes en prose, 1869

 

27 mars 2016

GIF les tontons flingueurs

C'est un gif que j'ai fait via le site Giphy. Allez-y c'est amusant..
6 mars 2016

Salon de l'agriculture - Paris - 2016

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Une pétition circule pour demander que la vache Cerise, égérie du Salon de l'agriculture, ne soit pas envoyée à l'abattoir dès que le rideau sera tombé ce dimanche soir.  Il n'a jamais été question pour Joël Sillac, son sympathique propriétaire landais, de transformer Cerise en hamburger.

Cerise

21 janvier 2016

Gratin jurassien

gratin


Ingrédients : (pour 4 personnes) :
10 pommes de terre moyennes
2 oignons.
1/2 pot de crème fraîche
3 cuillères à soupe de moutarde
4 tranches de jambon blanc
250 g de fromage morbier
250 g de fromage comté râpé
1 cube de fond de volaille
20 cl d'eau bouillante
10 cl de vin blanc

Préparation:
Préchauffer le four à 180°C (thermostat 6).
Couper les pommes de terre en cubes et les faire cuire à l'eau bouillante durant 10 à 15 minutes
Émincer les oignons finement et les faire cuire à l'huile d'olive puis ajouter le vin blanc en fin de cuisson.

Dans un plat beurré, mettre la moitié des pommes de terre cuites, ajouter les tranches de jambon, les oignons cuits et le morbier coupé en tranches.
Mettre de reste des pommes de terre, la crème fraîche mélangée à la moutarde et le comté râpé
Diluer le cube de bouillon dans l'eau bouillante et verser sur le plat



Mettre au four pendant 30 minutes.

21 janvier 2016

Qui a peur des femmes photographes - Musée d'Orsay

Pendule Musée d'Orsay

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Etre femme photographe après la Grande Guerre, c'est investir de nouveaux genres et de nouveaux champs. C'est contribuer à l'émergence de la photographie moderne et prendre part à l'effervescence créative des principaux foyers culturels en Europe et aux Etats-Unis. C'est, pour certaines femmes, passer derrière l'objectif après en avoir été la cible. C'est aussi prendre place sur la scène de la théorie et écrire l'histoire de la photographie. C'est participer activement à l'institutionnalisation du champ en organisant des expositions, en créant des écoles, en dirigeant des studios commerciaux ou des agences de diffusion. Photographier, pour les femmes, est désormais un métier aux multiples facettes et applications.

C'est également constituer des réseaux d'apprentissage et d'entraide, dans un contexte de grande mobilité géographique à l'échelle internationale et de vive concurrence avec ... les hommes. Car le partage des espace, des titres et des statuts provoque des inquiétudes et des conflits : les confrères, mais aussi les critiques, les historiens et les journalistes s'évertuent à présenter ces femmes comme des rivales qui viennent, en plus, brouiller les frontières dans la division multiséculaire des tâches sexuelles.

Musée d'Orsay


Musée d'Orsay

 




La gare

A la veille de l'exposition Universelle de 1900, l'Etat céda le terrain à la Compagnie des Chemins de fer d'Orléans qui, défavorisée par la position excentrique de la gare d'Austerlitz, projetait de construire à la place du Palais d'Orsay une gare terminus plus centrale.

http://www.musee-orsay.fr

 

14 janvier 2016

Brownies aux amandes et noix de pécan

brownie

Ingrédients

135 g de chocolat noir

50 g de noix et d'amandes

130 g de farine

150 g de sucre

2 oeufs

100 g de beurre salé de préférence

1/2 cuillère à café de levure

Préparation

Faire fondre le beurre et chocolat à feu doux.

Ajouter dans l'ordre : les oeufs, le sucre, la farine et la levure.

Mélanger au fouet .

Cassez les noix de pécan et les amandes pour faire des morceaux puis incorporez les à la pâte.

Préchauffer le four thermostat 6 (180° C) puis faire cuire pendant 15 à 20 min . Il faudra surveiller la cuisson le coeur doit être un peu moelleux .

Servir tiède accompagner d'une crème anglaise ou d'une boule de glace à la vanille.

1 janvier 2016

Bonne année, pace e salute, felice anno nuovo, ευτυχισμένο το Νέο Έτος Happy New Year....

Patate bonne année

Que cette nouvelle année soit une année de Paix et de partage

28 décembre 2015

Gâteau à la farine de châtaigne

châtaigne

Ingrédients

3 oeufs

170g de farine de châtaigne

1 sachet de levure

100g de sucre

1 verre d'huile de noix

1 verre et demi de lait

1 sachet de sucre vanillé

100g de brisures de marrons glacés ou de châtaignes au naturel

Préparation

Dans un saladier, mettre la farine de châtaigne, la levure, le sucre, le sucre vanillé et une pointe de sel. Mélangez.

Ajouter l'huile, le lait et enfin les oeufs battus. Mélangez,

Ajoutez les brisures de marrons glacés ou de châtaignes au naturel.

Préchauffez le four à 180°C ou thermostat 6.

Beurrez et farinez un moule de 22 ou 24 cm de diamètre. Versez-y la pâte.

Mettre au four 25 à 35 minutes. Avec la lame d'un couteau, vérifiez la cuisson. Si la lame ressort propre le gâteau est cuit,

22 décembre 2015

Vitrines de Noel à Paris

vitrine de noel

vitrine de noel

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